«J’ai investi pour rien!»: au Maroc, les agriculteurs tentent de faire face à la sécheresse

by time news

2024-07-29 22:05:04

Le Maroc connaît sa xième année de sécheresse consécutive. La chaleur also directly affects agriculture and breeding. Les récoltes de cereals subissent des pertes de près de 44%. Alors les professionnels et l’État tentent de s’adapter.

Omar Oualaidi, producteur d’oliviers, de céréales et de maraîchages a été obligé de modifier sa production pour s’adapter à la secéresse. Il ya trois ans, l’agriculteur est passé des pastèques et des melons à la culture de pomme de terre, bien moins consommatrice en eau. « Ces dernières années, nous faisons face à des problems d’eau. L’année dernière, nous n’avons pas eu une goutte de pluie de février jusqu’à mai alors que c’est une période crucial pour le maraichageraconte l’agriculteur de 47 ans, mon seul puit était quasiment vide, j’en ai donc fait creuser un deuxième, mais il était vide aussi. J’ai investi pour rien! Heureusement, fin mai, nous avons eu quelques pluies qui nous ont sauvés sinon on aurait tout perdu. »

Quinoa and pistachios pour limiter les impacts

Dans l’est, la région de Draa-Tafilalet est l’une des most touchées par la sécheresse. Abdellah Mostapha est ingénieur agronome et chief de division du développement des filières agricoles au niveau de la région. Son rôle : accompagner l’adaptation à ce manque d’eau. « Dans le cadre des projets d’agriculture solidaire, on a trysto d’introduire certaines cultures qui s’adaptent à ces changements climatiques. Like quinoa, like moringa, like cactus, like pistachier. On essaye de les introduire pour limiter les impacts de ce deficit hydrique que connait la zone », explain-t-il. Le lacke aussi des consequences pour les éleveurs du royaume.

Manque de fourrages pour les éleveurs

« On souffre beaucoup de ces difficultes climatiques. Ç’a surtout une répercussion sur les fourrages, on en a plus assez. Alors on a dû s’adapter et les changer, witness Mohamed Ayyad, a breeder in Errachidia, a town in the same region of Drâa-Tafilalet, aujourd’hui, je leur donne des déchets de dates broyés produits localement. Ça coûte moins cher, mais ç’a aussi une répercussion sur mon rendement. Avant, j’avais 300 têtes de brebis, je n’en ai plus que 150 ou 200. »

The precipitation of the beginning of the year prevented the drying of the sun, but only 23% of its capacity, the water table and the dams are still at a very low level, and the heat wave of the last days added encore un peu plus d’inquietude dans l’esprit des agriculturists et eleveurs du Royaume.

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