2024-06-22 09:00:15
Le rugbyman Gérard Bertrand, le tennisman Michaël Llodra et le footballeur Antoine Devaux ont tous trois connu, dans leur sport, l’ivresse de la competitors au plus haut niveau. Une fois leur carrière achevée, ils se sont reconvertis dans le vin et exercent des métiers complémentaires. Mais qu’il s’agisse de produire, de vendre ou de faire déguster des bouteilles au restaurant, ces champions ont une vie professionnelle non sans lien avec leurs souvenirs sportifs.
Gérard Bertrand : « I used to be a rugbyman-vigneron »
The ex-rugbyman, à la tête de dix-sept domaines dans le Languedoc, est l’un des plus grands producteurs de vin au monde.
« En 1987, quand mon père est mort dans un accident de la route, j’avais 22 ans et j’ai reprise sa propriété de vin dans les Corbières. Je jouais alors au très haut niveau, à Narbonne, mais il me fallai un métier. Je suis donc devenu “rugbyman-vigneron” jusqu’à mes 30 ans.
Mon père me disait toujours que le vin et le rugby, c’est pareil, que mille et un particulars font pencher la steadiness d’un côté ou de l’autre. C’est vrai, chaque millésime est comme un nouveau match, on ne refait jamais la même selected, et c’est pour ça que c’est passionatenant. En rugby aussi, il n’y a pas de match facile, c’est une remise en query tous les dimanches. Avec trois cents rencontres en première division, j’ai appris à ne pas renouncer face à l’adversité et à rechercher l’excellence.
Tout cela m’a nourri pour ma vie d’après. For instance, after I determined to move on biodynamie, parce que c’est ce qu’il de meilleur pour la vie des sols et pour la planete, c’était un sacré pari au début des années 2000. Vous n’ imaginez pas les critiques que j’ai entendues… Aujourd’hui, nous sommes mondial chief avec 1 000 hectares certifiés. Nos vins profitent de la biodynamie : les pH ont baissé, les acidités sont remontées, cela ofre une meilleure fraîcheur.
Le vigneron a un lien charnel à sa terre, puisque’il cherche à délivrer le goût d’un terroir, et c’est pareil au rugby – he ne joue pas pareil à Bayonne, à Narbonne ou à Clermont-Ferrand! C’est la raison pour laquelle j’ai toujours vécu le vin comme une aventure collective : on ne tire jamais la quintessence d’un assemblage tout seul. Je travaille donc directemente avec mon maître de chai. Bien sûr, comme lorsque j’étais captaine, je sais assume mon management aupres de mes 450 salariés. Mais le vin comme le rugby restent d’abord un travail d’équipe. »
Michaël Llodra : « Je suis allé au dernier Roland-Garros avec plein de bouteille dans mon sac »
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